Des milliards de cristaux de neige… on dit des flocons qu’ils sont tous différents !

(Ceci n’est pas une de mes toiles)

Des milliers de peintres, des milliers de toiles toutes différentes, chacune regorgeant de couleurs, d’émotions, de rêves ou de visions.

Chacune trimballant ses parcelles d’espoirs… espoir d’émouvoir… de toucher… de faire rêver… espoir d’être aimée… espoir d’être choisie… espoir d’être admirée.

Depuis que j’ai ce blogue, mes doigts cliquent ici et la sur ‘la’ toile… la grande… l’immense… cette toile qu’on appelle ‘Internet’ et j’y découvre un monde… que dis-je ! un univers de flocons de neige… c’est à s’y perdre.

Y’en a du monde qui se font aller le pinceau ! Jamais je n’aurais pensé que ce mode d’expression était si populaire. C’est pas surprenant: je ne peignais pas, donc je ne m’y intéressais pas. Je me regardais le nombril qui, soit dit en passant, ressemble lui aussi à un flocon de neige. Et que je n’en entende pas un de vous penser ‘ouin, un flocon qui a vécu de nombreuses tempêtes’.

Dur… dur… de regarder ces centaines de toiles, de les trouver belles, originales, flyées, détaillées, inspirées et de ne pouvoir m’empêcher de les comparer aux miennes pour me dire que ce n’est pas demain que j’arrêterai de suivre des cours de peinture….

Puis, ensuite, je vais à mon atelier, je peins et je traverse dans une autre dimension où le temps semble s’arrêter (ou s’enfuir plus vite, c’est dur à définir). Je regarde mes toiles et je me dis : tiens ! de nouveaux flocons de neige. Et je suis fascinée !